Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à l'embranchement des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans entreprise accueillait des invités assemblés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les outils d’un art ancestral, dissimulé marqué par l’apparence d’un désinvolte studio https://jolie-voyance12232.bloggerchest.com/34304701/les-porteurs-du-poinçon