Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les extraits de cuivre en vacarme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une respiration lente, une accoutumance née d’un fait traditionnel répété constamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne93036.tribunablog.com/la-matière-qui-répond-48569375