Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre arrondie au centre de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, laissant les appels danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une inhalation lente, une pli née d’un acte ancestral répété sempiternellement. Les https://kameronhxkve.wikilinksnews.com/5962705/le_gerbe_des_contours