La lumière du matin s’étendait doucement sur les toits d’Istanbul, mais dans l’atelier d’Elif, ce n’était pas la clarté qui guidait les mouvements. Le macrocosme y vibrait en empruntant une autre voie, par les reliefs, les textures et les sons ténus du silence. Dès les premières heures du jour, les https://chancepuwac.blogsumer.com/33293590/la-superficie-et-l-ombre