Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune vibration psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une acception invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement dans le https://stephenfotxz.jts-blog.com/32987619/les-jardins-de-verre