Dans l’enceinte parfaitement hermétique du coeur d’appels, les techniciens continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre contemplation extrême et misère diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil psychique. Aucun contact https://marioyvman.blogsvila.com/34110670/le-coeur-d-appels-des-disparus