L’archéologue scrutait l’horizon, les dunes dorées s’étirant de la même façon qu'un océan figé marqué par la luminosité du soleil déclinant. Le vent continuait de préparer des volutes de poussière, mais son être était ailleurs. Les ombrages qu’il avait vues un instant plus tôt n’avaient laissé zéro empreinte, zéro ecchymose https://elliotqbhnd.isblog.net/le-sable-et-les-planètes-50991639