La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, juste brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté face à la lanterne, réfléchissant le moindre frémissement de naissance. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de cerveau et de brume qui se mêlaient à la https://rafaelkhwjx.gynoblog.com/32940783/l-île-au-vent-et-à-l-oubli